vendredi 29 mars 2013

Poupées sanglantes

Le titre de l'article ne fait pas référence à l'excellent roman de Gaston Leroux ni à la non moins excellente oeuvre télévisée du même nom (pour ceux qui ne connaissent pas, une recherche sur Youtube devrait aller...) mais à la conception pour le moins bizarre voire malsaine qu'à Maria Rubinke concernant les poupées de porcelaine... ou pas. On appelle ça de l'art morbide ou du trash-art. Voyez vous-même, c'est forcément dérangeant...












1 commentaire:

  1. ça n'y fait pas référence, mais ça me rappelle tout de même certaines scènes du téléfilm ...

    Trash et spécial ... mais c'est l'époque qui veut ça ...

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